jeudi 19 février 2009

Notre Journal de Bord, avec M6 et Turbo


Merci !!!

Chers amis,

 Dur retour à la réalité !

Les 2458 kms et 48h de route, du retour furent longs !

Ce petit message est maintenant décalé de la course, mais nous souhaitions une nouvelle fois vous remercier pour votre suivi, vos messages, votre soutien, et votre aide.

Durant cette aventure, vous n'étiez apparemment pas les seuls à nous suivre !

L'aventure du Team 4 Ailes du Maroc fut effectivement relayée sur de nombreux sites Internet, et particulièrement prestigieux, comme PitStop.com, GentlemenDrivers.com, RacingForever.com..., ainsi que dans la Presse écrite Nationale, avec Action 4x4, Génération 4x4, Passion 4x4, 4L Mag...

Et le cerise sur le gâteau, France Télévision qui a suivi un des deux équipages du Team pour un "Tout le Sport" diffusé le Lundi 2 Mars sur France 3 National à 20h10 (visibilité 3 000 000 de personnes !!), voir la vidéo ci dessus

Nous remercions Turbo.fr, Motorstv.com  et Paris Web Cube nos partenaires diffusion, pour leur professionnalisme et leur aide, car envoyer un communiqué de presse tous les soirs et une vidéo tous les deux jours ne fut pas une mission facile, surtout au beau milieu du désert !

Merci encore une fois à nos partenaires pour leur confiance, sans qui l'aventure n'aurait pas été réalisable.

Merci à l'Association Etoile d'Argent contre la Dystonie, que nous avons été fiers de représenter ; en espérant que notre petit soutien aura pu faire avancer dans la communication autour de cette maladie qu'est la Dystonie.

(http://www.etoile-argent.org)

Nous espérons avoir été à la hauteur de vos attentes et surtout que vous avez pris plaisir à suivre notre aventure.

A bientôt pour de nouveaux challenges...

Le Team 4 Ailes du Maroc

Julien Barquero, Jonathan Metge, Pierre Rouland, Tom Zaniroli

Vendredi 27 février

Quelle surprise ce matin lorsque nous sommes réveillés par un orage de grêle ! La météo marocaine change aussi rapidement que les paysages que nous traversons.

Pour conclure cette étape marathon, il nous reste 40 kilomètres de pistes à effectuer. Une broutille donc, sauf que nous devons enchaîner avec 400 kilomètres de liaison, pour atteindre Marrakech !

Une fois la piste terminée, nous retrouvons sur la route l’un de nos partenaires, Serge Gautier, représentant la société Labo Express. Ce dernier a tenu expressément à être présent lors de notre arrivée pour partager ce moment avec nous. Nous nous arrêtons dans la ville de Agdz et prenons pour la toute première fois le temps de nous arrêter pour déjeuner local.

Serge nous sert ensuite de poisson-pilote pour franchir les deux cols enneigés menant à Marrakech.

Nous rejoignons le check point de Désertour, transformé en bourbier par les pluies, en début de soirée, avant d’être tous séparés pour rejoindre nos hôtels respectifs.

Demain aura lieu la remise des prix, puis la caravane rejoindra l’Europe pour en finir avec ce périple.

Conclusion 

Au terme d’une aventure qui aura duré près de cinq mois, il résulte de nombreux points positifs, mais également négatifs.

Tout d’abord, l’organisation et la recherche des sponsors, nous ont prouvé à quel point il fallait être persévérant pour monter un projet comme le 4L Trophy.

Le fait d’avoir préparé nous-mêmes nos véhicules, nous a donné entière satisfaction et nous  a permis de prendre la mesure du travail accompli au moment du départ, ainsi que sur les pistes où les autos n’ont pas cessé de nous épater.

Sur le terrain justement, c’est là que les choses se compliquent. Réaliser dix jours de routes parfois dangereuses pour seulement quatre jours de pistes, si l’on considère que l’étape marathon était réalisable en une seule journée, cela laisse un goût amer après tant d’efforts avant l’événement. Un constat qui n’enlève rien au plaisir procuré par la piste, on aurait seulement aimé en avoir un peu plus, d’autant plus que l’aspect aventure s’apparente plus a du tourisme lorsqu’on croise des vendeurs de souvenirs le long de la piste, embouteillages et dépaysement garantis.

Côté résultats, Jonathan Metge et Tom Zaniroli sur la n°1479 finissent à la 112ème place sur 1000 concurrents , tandis que Julien Barquero et Pierre Rouland sur la n°966 terminent à la 238ème position. Cette participation au Trophy reste pour nous une réussite grâce aux multiples rencontres effectuées, et à l’ambiance qui règne entre les étudiants, ce sont ces deux derniers points qui font du 4L Trophy ce qu’il est aujourd’hui.

Merci de votre suivi et de votre soutien, nous remercions tout particulièrement l’ensemble de nos partenaires, sans qui cette aventure n’aurait pas été possible.

A très bientôt pour de nouvelles aventures….

Jeudi 26 février

C’est aujourd’hui que va se jouer le 4L Trophy, l’étape marathon devant relier Timerzif à Zagora promet quelques belles difficultés. D’une part il faudra gérer la navigation et d’autre part, le terrain souvent très cassant. Un parcours qui s’annonce sélectif, et qui nécessite une journée et demie de piste.

C’est justement par un axe très large que commence notre journée, sur environ 30 kilomètres, nous traversons les villages aux alentours de Timerzif, avant de rejoindre une trace beaucoup moins large qui va nous emmener jusqu’à Zagora.

C’est parti pour 200 kilomètres à travers le désert marocain, avec comme points d’orgues le passage d’un oued particulièrement mou, et la traversé du champ de pierres situé peu avant la sortie de la piste.

Les premiers kilomètres se déroulent sans encombres, Tom Zaniroli et Jonathan Metge avec la n°1479, ouvrent la piste à leurs camarades de la n°966, Pierre Rouland et Julien Barquero eux même suivis par l’équipage rencontré la veille, celui d’Anaïd de Dieuleveu et de sa copilote Maud, sur la n°1133.

C’est en direction du fameux oued que se dirige tout ce petit monde. Au moment où ils arrivent sur les lieux, les trois équipages découvrent une centaine de véhicules qui attendent pour passer la difficulté. Il va donc falloir prendre son mal en patience, ou ouvrir un nouveau passage ! C’est évidemment la seconde décision qui est privilégiée, et les trois 4L passent l’oued, en dehors de toutes traces, ce qui facilite grandement le travail.

Le reste de la piste se révèle plus facile que prévu et consiste en une alternance de pistes sinueuses et de grands plateaux où l’on peut lâcher les chevaux ! Faute de vent, la poussière est omniprésente et ne facilite pas la tâche du pilote. Quoi qu’il en soit nous atteignons la partie caillouteuse de la piste en début de soirée. De part l’absence de GPS, il nous est interdit de circuler de nuit, il nous faut donc trouver un endroit pour dormir.

Nous décidons de nous écarter de la piste et trouvons le « spot » idéal, légèrement à l’abri du vent. Nous terminons cette journée autour du feu en nous rappelant quelques anecdotes de la journée.


Mercredi 25 Février

Encore une journée qui s’annonce comme prometteuse. Aujourd’hui nous devons nous rendre de Merzouga à Timerzif, sur la route menant à Alnif. Au programme du jour, il faut effectuer 160 kilomètres, dont une centaine de pistes. Autant vous dire qu’on attend ça de pied ferme. Cerise sur le gâteau, nous avons le privilège de bénéficier de la présence d’une équipe de France Télévision, qui réalise un sujet sur l’équipage 1479, celui de Tom Zaniroli et Jonathan Metge.

Direction Rissani tout d’abord pour accéder à la piste que nous devons emprunter. Si la première partie du parcours nous roulons au ralenti, ce n’est à cause d’un problème technique, mais parce que nous réalisons les interviews à bord du véhicule, ambiance « inside » assurée !

Ensuite, une surprise de taille nous attend, puisque c’est à bord de l’hélicoptère de direction de course que l’équipe de tournage va finir de filmer ses plans. L’idée même de faire des images aériennes de nos véhicules provoque chez nous l’euphorie, à telle point que nous nous enlisons pendant une bonne dizaine de minutes ! La suite, c’est un enchaînement de poursuites à vive allure, avec l’hélicoptère à une vingtaine de mètres de la voiture.

Une fois la récréation terminée, les choses redeviennent plus simples, c’est-à-dire attaquer sur la piste pour se faire plaisir au maximum. Devant c’est Jonathan qui ouvre la piste copiloté par Tom, tandis que la n°966 de Julien Barquero et Pierre Rouland suit le rythme imposé par la voiture de tête.

Le reste de la piste est relativement simple et consiste à suivre différents caps. Si nous avions rencontré quelques problèmes hier, il n’en ai rien aujourd’hui et les deux véhicules arrivent tranquillement au bivouac, avec deux kilomètres d’avance comparé au indication du Road Book. Un mauvais étalonnage des pneus est sûrement à l’origine de cet incident.Demain commence le plat de résistance du 4L Trophy, l’étape marathon qui sur deux jours nous emmènera vers Zagora, attention aux cailloux !


Mardi 24 Février

Aujourd’hui, direction Merzouga et l’Erg Chebib pour enfin prendre connaissance avec les pistes des larges plateaux marocains. L’entrée de la piste est située à la sortie d’Erfoud, un itinéraire maintes et maintes fois empruntés par les nombreux rallyes raids traversant le pays. C’est donc sur un axe mythique que nous nous rendons en direction des dunes cathédrales. Sur la n°1479 c’est Tom Zaniroli qui prend le volant, quant à la n°966, Pierre Rouland s’occupe de mener les hostilités.

Notre objectif est simple et s’affiche à l’horizon : les dunes ! Les deux équipages ne manque pas d’enthousiasme et roule sur un rythme soutenu, décidemment la préparation des voitures n’en fini plus de nous étonner, tant elles sont efficaces. La piste offre de multiples parallèles, les possibilités de dépassement sont multiples. Les soucis d’embouteillages d’hier sont oubliés.

Côté navigation, les choses sont relativement simple, à condition de ne pas louper une note, comme la n°1479 ! Tom et Jonathan font une dizaine de kilomètres en plus qu’indiqué sur le parcours, rien de grave donc mais un petit rappel à l’ordre tout de même.

Le reste de la piste s’effectue sans difficultés et nous arrivons pour la première fois de jour au bivouac.

En fin d’après midi, Jonathan prend place dans le baquet du pilote pour effectuer le parcours de franchissement, noté sur le style et la propreté de passage dans le sable. Après un premier passage pour le classement officiel, Jonathan offre un baptême de piste au caméraman de France Télévision, sensations garantie avec les quatre roues en l’air.Le soir, l’organisation procède à la distribution des 60 tonnes de matériel, apportés par les étudiants, aux autorités locales, le tout dans ambiances des plus festives.

 

Lundi 23 Février

Enfin nous avons pu réaliser une nuit complète, et ce ne fut pas du luxe ! Cette journée s’annonce comme exceptionnel, en effet c’est ce jour que nous devons fouler pour la première fois les pistes marocaines. Avant cela, il nous faut encore effectuer près de 200 kilomètres de liaison. Une broutille après la descente de l’Europe et la journée d’hier !

Nous arrivons à l’entrée de la piste aux alentours de 13H00, et en profitons pour nous arrêter, afin de nous restaurer à la sortie d’un village. Notre stop correspond à la fin des cours, pour les écoliers marocains. Forcément intrigués, ils s’empressent de venir nous voir en quête de quelques victuailles à picorer. Sans jamais perde le Nord, les enfants sont tous plus entreprenants les uns que les autres. Déstabilisant au début pour certains, il suffit en fait de rentrer dans leurs jeux et de se mettre à leur hauteur pour découvrir qu’ils ont l’habitude des touristes. Ils connaissent tous les trucs et astuces pour obtenir ce qu’ils veulent !

Nous attaquons la portion de piste à 14h00, et là nous nous retrouvons dans une colonne de véhicules qui s’étend à perte de vue, on pourrait facilement comparer cela au périphérique parisien en début de soirée. Est-ce dû un départ tardif de notre pars ? Quoi qu’il en soit, mille 4L sur une piste unique, c’est impressionnant.

L’équipage 1479, piloté par Jonathan Metge et Tom Zaniroli est habitué aux pistes caillouteuses du Maroc, quant à l’équipage 966 de Pierre Rouland et Julien Barquero, il bénéficie de l’expérience de Julien, déjà présent sur le Trophy l’an passé. Nous sommes donc assez exigeant en termes de sensations. Attaquer un minimum au milieu de plusieurs centaines de R4, c’est du sport et la moindre trace annexe devient un espace de dépassement. Malgré tout, c’est sur ce genre de terrain que nous apprécions la préparation soignée apportée à nos véhicules.Au terme de ces trente-cinq petits kilomètres de mise en jambes, Julien et Pierre (n°966) profitent d’un arrêt pour aider un équipage ayant des problèmes d’alimentation d’essence, ayant entraîné un incendie, sans gravité, sur leur véhicule. 

Après une heure et demie de mécanique et un changement de pompe à essence, ils repartent vers de nouvelles aventures, tout comme nous. Demain un morceau de choix nous attend, puisque l’Erg Chebib et ses dunes cathédrales s’offrent à nous.

 

Dimanche 22 Février

La journée commence comme la soirée de la veille avait terminé, par un concerto de klaxons, il n’a peut-être même jamais cessé ! Quoi qu’il en soit c’est à quatre heures du matin que nous quittons le bivouac de Algeciras, après une seconde nuit bien trop courte, direction le port et l’embarcadère. La traversé se déroule sans problèmes et grâce à notre position dans le bateau, nous débarquons parmi les premiers, idéal lorsqu’on connaît la difficulté pour sortir de Tanger. De plus le programme du jour est chargé, puisqu’il nous faut effectuer près de 500 kilomètres de liaison pour rejoindre le bivouac de Enjil, dont 140 de routes montagne.

Toutefois, afin de bien démarrer notre périple au Maroc, nous nous imposons un arrêt transmission dans un cyber café afin de faire parvenir communiqués (celui que vous être en train de lire !) et clips vidéos à nos partenaires, nous en profitons pour nouer les premiers contacts avec les marocains, qui comme à leurs habitudes nous accueils chaleureusement.

Connaissant le grand nombre de kilomètres restant à parcourir, nous décidons de lever le camp et de reprendre la route.

La majorité du parcours se déroule sur autoroute, nous longeons la côte Atlantique, avant de piquer à gauche pour rentrer dans les terres, en direction de Mekhnès. La suite du programme est par contre beaucoup plus chargé puisque c’est une (très) étroite route de montagne qui nous attends, avec par endroit des murs de neige et de gros nids de poule. Nous réalisons le tout de nuit, difficulté supplémentaire, lorsqu’on connaît le danger que représentent ces routes. 

Certains concurrents sont ambitieux et réalisent des manœuvres parfois osées, mais c’est aussi ça le 4L Trophy, à nous de leur transmettre la sagesse et l’enseignement de l’Afrique. Quant à nous, tout se déroule bien, malgré une petite erreur de navigation pour Joanathan Metge et Pierre Rouland dans la n°1479, Tom Zaniroli conduisant la n°966 de Julien Barquero pour soulager se dernier de la fatigue.

Après être passé par Ifrane et Boulmane, nous arrivons au bivouac de Enjil vers 20h30 et bizzarement l’ambiance est beaucoup plus calme que la veille, mise en forme pour le lendemain ou chute de tension pour certains, seul la piste nous le dira !



Samedi 21 février

Nous nous réveillons à 11h00 après une petite nuit de seulement quatre heures. Les équipages sont fatigués, mais nous ne sommes plus qu’à 120 kilomètres d’Algeciras, lieu du premier bivouac officiel. L’idée de pouvoir enfin nous reposer nous motive à reprendre la route sur les coups de 13h00. Nous arrivons à hauteur d’Algerciras deux plus tard, juste à temps pour le brieffing et la distribution du précieux road-book. La soirée nous permet de rédiger nos différents communiqués. Nous en profitons également pour réaliser le premier clip vidéo de notre carnet de bord. Ce premier bivouac est l’occasion de la réunification de l’ensemble de la caravane et une ambiance conviviale s’installe au milieu des campements. Demain départ pour le Maroc, les choses sérieuses commencent enfin !


Arrivée à Malaga, la pause s'impose de 8h à 11h du matin

Départ du bateau à 4h du matin

Chargement du bateau


Vendredi 20 février

Nous décollons de Biarritz sur les coups de midi, un peu tard soit, mais les voitures sont suffisamment performantes pour nous permettre de rattraper le retard ! Le passage de la frontière espagnole se révèle anodin, vive l’Europe et nous enchaînons sur la suite du parcours. L’objectif du jour est pour nous de dépasser Madrid, afin de se coucher un peu plus tôt pour pouvoir récupérer de nos efforts de la veille.

Malheureusement, tout n’est pas aussi simple, les autoroutes ibériques ont tendances à être vallonnés, une caractéristique qui ne réussi pas forcement au petit 1100 cm3 de la 4L n° 1479, celle de Jonathan Metge et Tom Zaniroli. Sagement, nous prenons la décision de baisser le rythme, la température moteur grimpant en flèche au dessus des 100°C. C’est donc au ralenti que nous franchissons plusieurs « Sierra » avant d’atteindre Madrid en début de soirée. Pour parer à tout problèmes, il devient flagrant qu’un arrêt plus long s’impose. A minuit, nous improvisons un point mécanique sur une aire d’autoroute. Nous découvrons alors une fuite d’huile au niveau du joint de cache culbuteurs ainsi qu’un bruit sourd et régulier à l’intérieur de celui-ci. Il s’avère que ce dernier et légèrement enfoncé et qu’un culbuteur vient taper pile à cet endroit. Julien redresse et resserre le tout et adieu la fuite et le bruit persistant. Côté surchauffe, Jonathan et Pierre s’attellent à purger le circuit de refroidissement et branche le ventilateur principal en direct, afin que le moteur soit en permanence gavé d’air.

Trois heures plus tard, nous voilà reparti mais le temps perdu nous oblige à rouler toute la nuit. Nous atteignons l’Andalousie et la ville de Malaga sur les coups de 7h00 pour une nuit qui va s’avérer très courte.

La route est longue de Biarritz à Madrid...

Pause mécanique de 0h à 3h du matin


Jeudi 19 février

C’est enfin le jour J, le Stade de France vibre au rythme des klaxons des 1200 étudiants impatients d’en découdre avec les pistes marocaines. Avant cela l’organisation convoque les concurrents pour un premier briefing, avec en invité surprise un certain René Metge ! Le triple vainqueur du Dakar et organisateur de la TransOrientale prodigue ses conseils avisés (ceux la même qu’ils nous avaient donnés il y a quelques semaines) à l’ensemble de la caravane, soit un vrai plus en terme d’expérience. Jean Jacques Rey, le directeur de course en profite pour donner le départ, en simultané avec le second parc fermé situé à Bordeaux.

Il nous reste maintenant à effectuer les 1900 kilomètres de liaison qui nous séparent d’Algeciras, au Sud de l’Espagne. Pour cette première journée nous avons décidé de rouler jusqu’à Biarritz pour se rapprocher au maximum de la frontière. Toutefois, en bons samaritains que nous sommes, nous n’avons pas résistez à l’idée de partager nos connaissances en mécanique avec les équipages en difficultés. Pierre et Julien se mettent à l’œuvre et sauvent pas moins de quatre voitures. Toutefois, nous perdons près de trois heure dans l’affaire, et histoire de faciliter les choses, il nous reste plusieurs centaines de kilomètres à effectuer. Heureusement, nos 4L sont efficaces, et c’est grâce à un rythme soutenu que nous atteignons Biarritz à 2h00 du matin, pour une première nuit bien méritée.




The D. Day ! Vérifications Techniques et administratives au Stade de France


Mercredi 18 Février

Cinq mois de Travail, de soudures, de tôles pliées et quelques centaines d’heures passées sous les voitures plus tard, nous sommes enfin prêt pour le 4L Trophy. Les deux véhicules engagés par Jonathan Metge et Tom Zaniroli (n°1479) ainsi que Julien Barquero et Pierre Rouland (n°966) ont fier allure !

Rendez-vous nous est donné par l’organisation au Stade de France afin d’effectuer les vérifications techniques et administratives. Ces formalités d’usage s’effectuent sans problèmes, et nous consacrons notre après-midi aux derniers préparatifs logistiques. Nous en profitons également pour donner quelques coups de mains et échangeons quelques conseils avec nos voisins de parc fermé.





Le casque de Jonathan Cochet (pilote F1 Renault) à coté du logo de l'association Etoile d'argent contre la Dystonie

Visonnez sur Motors TV le résumé de notre étape.







VIDEO 1 : DE PARIS AU MAROC



VIDEO 2 : ARRIVEE AU MAROC ET PREMIERE ETAPES


VIDEO 3 : LE 4L TROPHY, CES CAILLOUX, SON SABLE, SES GALERES !

mercredi 18 février 2009

"4 Ailes du Maroc" & "Etoile d'Argent" contre la DYSTONIE


Le Team « 4 Ailes du Maroc » a le plaisir de représenter et soutenir 
l’association « Etoile d’Argent »
qui lutte contre une maladie neurologique rare, la DYSTONIE. 
Celle-ci est caractérisée par des contractions musculaires involontaires, responsables de postures et mouvement anormaux.

Plus d'informations sur le site Internet de l'association,